Quand le New York Times s’attaque à Amazon, les articles font souvent l’effet d’une bombe. 25 années de vente en ligne, la domination écrasante en Occident, les ramifications technologiques, l’approche féroce contre la concurrence, la pression sur les fournisseurs… et bien d’autres.
D’Amazon, on a pu tout dire, tout lire, tout entendre — la société de Jeff Bezos est devenue, selon les camps, le pire ou le meilleur, à l’instar de la langue d’Ésope. De fait, les sujets ne manquent pas, à bien considérer l’ampleur de cette entreprise : au commencement, elle voulait simplement vendre des livres sur la Toile. Et ce, parce qu’il s’agissait du produit dont il existe le plus grand nombre de références : probablement un indicateur qui aurait pu mettre la puce à l’oreille…