Le groupe Les Echos-Le Parisien pose les jalons de son rapport à l’utilisation de l’intelligence artificielle générative (IAG) au sein de ses rédactions. Si la « simple » intelligence artificielle (correcteur orthographique, textes à trou, bots, graphiques automatiques…) est utilisée depuis plusieurs années, l’IAG est aujourd’hui un « bouleversement technologique majeur », concède le groupe dans un communiqué. Dès lors, cela représente « de nombreuses opportunités et suscite de nombreuses questions éthiques, notamment quant à son utilisation journalistique », avance-t-il. Dans ce cadre, le groupe entend « définir aussi précisément que possible le cadre dans lequel ces technologies doivent, ou ne doivent pas, être utilisées » au sein de ses rédactions. Il publie donc ses engagements en la matière, dans deux catégories, qui ont vocation à être mis à jour régulièrement…
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