Une étude sur la confiance en l’IA met en évidence les rapports mondiaux à l’égard du potentiel de l’IA pour façonner positivement l’avenir de la société. Les Français sont partagés entre l’utilisation et la confiance.
La loi européenne sur l’intelligence artificielle, premier cadre juridique complet au monde pour l’IA, arrive dans les dernières étapes des négociations en vue de son adoption.
Mais, la France, tout comme d’autres économies européennes, fait face à un manque de confiance dû au faible niveau de connaissances et de confiance du public en ce qui concerne l’Intelligence Artificielle (IA), ce qui risque de manquer des opportunités.
De leur côté, la Chine et l’Inde sont en train de réaliser le potentiel de l’IA en tant que force positive dans des domaines tels que les soins de santé, la sécurité alimentaire et le développement durable.
Utilisation éthique
Ce sont les conclusions de l’étude menée par BSI auprès de 10 000 personnes interrogées dans neuf pays sur la confiance en l’IA. La France reste à la traîne, face aux Early Adopters identifiés comme la Chine et l’Inde.
Seulement 26 % des personnes interrogées dans l’hexagone indiquent avoir recours à l’IA dans leur travail au quotidien, et seulement 39 % prévoient qu’elle fera partie de leurs missions d’ici à 2030…