Elon Musk a officiellement pris le contrôle de Twitter pour 44 milliards de dollars, ouvrant une nouvelle ère incertaine pour cette plateforme d’influence majeure, sous la houlette de l’homme le plus riche du monde, qui effraie autant qu’il fascine.
« Que la fête commence », a tweeté vendredi le patron de Tesla (véhicules électriques) et SpaceX (vols spatiaux), grand amateur de provocations. Il avait déjà lancé « l’oiseau est libéré », jeudi soir, après avoir licencié l’équipe de direction de l’entreprise californienne.
Les réactions, enthousiastes ou dépitées, se sont multipliées, mais la plus retentissante est celle de General Motors (GM).
Le constructeur automobile a indiqué vendredi qu’il arrêtait temporairement de payer pour des publicités sur Twitter, devenant ainsi le premier grand annonceur à remettre en cause sa présence sur le réseau social…