Les parties prenantes « ont décidé d’un commun accord de suspendre leurs discussions sur la cession de “Marianne” », a annoncé le groupe de presse de Daniel Kretinsky.
Coup de tonnerre au magazine Marianne. Après la menace de grève brandie par les journalistes de la rédaction, CMI France et Pierre-Édouard Stérin « ont décidé d’un commun accord de suspendre leurs discussions sur la cession de Marianne », a annoncé vendredi matin le groupe de presse de l’homme d’affaires tchèque Daniel Kretinsky.
« Ils se retrouveront le 21 juillet pour statuer définitivement sur le sort de ces discussions », a précisé CMI France. La rédaction du magazine dirigée par Natacha Polony avait voté une grève reconductible de 24 heures dans la soirée de jeudi, trois jours avant le premier tour des législatives anticipées, pour protester contre une cession à l’homme d’affaires conservateur Pierre-Édouard Stérin, en raison de ses possibles liens avec le Rassemblement national (RN) avancés dans la presse…