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Des bibliothécaires témoignent de l’utilité de l’intelligence artificielle… et de ses limites

Centrées sur le numérique, les journées d’études de l’Association des bibliothécaires départementaux, du 23 au 25 septembre, ont aussi abordé la question de l’intelligence artificielle. Comment les bibliothécaires peuvent-ils s’en saisir ? Jusqu’à quel point ? Éléments de réponse recueillis au fil des tables rondes.

Que ce soit pour trier automatiquement les livres de bibliothèques en réseau pour les distribuer équitablement (comme à Helsinki), rédiger rapidement le résumé d’une réunion, traduire le guide de la médiathèque en plusieurs langues, créer un atelier créatif, dénicher une couverture de livre avec un dauphin pour un lecteur qui souhaite le retrouver, les intelligences artificielles répondent présentes.

Capables d’analyser des milliers de situations similaires et de les synthétiser de manière personnalisée, elles peuvent aussi aider les professionnels à gagner du temps dans nombre de tâches. Trois familles d’IA existent : celles qui reconnaissent des sons, des images, des textes (comme le font BeatFind, Shazam, ScreenApp) ; qui proposent des prédictions (Artefact, Pigment) ; qui génèrent texte, son, image à partir d’une consigne (ChatGPT et Dall-E, le français Mistral AI, Copilot, Midjourney…)…

Lire Livres Hebdo du 27/9/24

Pascal Lenoir

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