Cette incertitude a fait plonger l’action de plus de 6 % à l’ouverture de la Bourse de New York jeudi.
La petite phrase de la directrice financière de Meta a particulièrement retenu l’attention des investisseurs. « Bien que nous n’ayons pas de revenus directs significatifs en Israël au Moyen-Orient, nous avons observé un ralentissement des dépenses publicitaires au début du quatrième trimestre, au même moment que le début du conflit. Certains annonceurs ont interrompu des campagnes » a indiqué Susan Li, lors de la présentation des résultats trimestriels du géant américain. Cette incertitude sur la fin d’année a fait plonger l’action de plus de 6 % à l’ouverture de la Bourse de New York jeudi. Cette observation de Meta fait écho à ceux de Snap, également aux avants postes en matière de publicité digitale. « Nous avons observé des pauses dans les dépenses d’un grand nombre de campagnes de publicité juste après le début de la guerre au Moyen-Orient » avait indiqué mardi soir Evan Spiegel, le PDG du réseau social. Une douche froide après un trimestre d’investissements publicitaires soutenus, en particulier pour Meta…